Le 26 octobre, au Centre des congrès de Laval, se tenait le premier Symposium international sur les soins de santé sécuritaires au Québec. Organisé par la FIQ, en collaboration avec le Secrétariat international des infirmières et infirmiers de l’espace francophone (SIDIIEF), ce symposium réunissait des experts nationaux et internationaux dans le but de développer un modèle québécois de ratios professionnelle en soins/patients répondant aux besoins de la population.

Au cours des prochains jours, plus d’information sera disponible sur le site Web de la Fédération et sur sa page Facebook.

« Après avoir coupé plus d’un milliard de dollars ces dernières années, le gouvernement libéral essaie maintenant d’éteindre des feux qu’il a lui-même allumés. Le réinvestissement en santé annoncé aujourd’hui ne permettra jamais de réparer tous les torts que le ministre de la Santé et des Services sociaux a causés aux patients et aux professionnelles en soins. Cette mise à jour économique ressemble plus à une opération de relations publiques qu’à une stratégie efficace pour améliorer la qualité et la sécurité des soins. L’ajout de 300 millions de dollars par année ne permettra pas de couvrir la croissance des coûts du système de santé. Nous allons donc vivre encore des compressions dans les prochaines années qui affecteront encore les patients. » C’est en ces termes que, le 25 octobre dernier, la présidente de la FIQ, Régine Laurent, réagissait à la présentation de la mise à jour économique du gouvernement du Québec par le ministre des Finances, Carlos Leitão.

Le 25 octobre dernier, c’est avec satisfaction que les présidentes des syndicats affiliés à la FIQ au Saguenay–Lac-Saint-Jean accueillaient la décision de la Direction du CIUSSS de reconnaître le baccalauréat pour les infirmières. « Nous avons multiplié les tribunes dans ce dossier d’importance, et la Direction a enfin accepté de franchir un pas. C’est assurément une victoire pour les professionnelles en soins de la région », indiquait alors la présidente du Syndicat des professionnelles en soins du Saguenay–Lac-Saint-Jean (FIQ), Martine Côté.

Ne manquez pas la plus récente édition du blogue de la présidente de la FIQ, Régine Laurent.

Le 19 octobre dernier, la porte-parole de l’opposition officielle en matière de santé et de services sociaux et députée de Taillon, madame Diane Lamarre, déposait une pétition à l’Assemblée nationale demandant que soit revue la décision de fermer l’Unité interne de santé mentale au Centre hospitalier de La Sarre.

« Le gouvernement libéral est en train de détruire le réseau de la santé. Contrairement à ce qu’affirme le ministre Gaétan Barrette, les compressions de son gouvernement affectent les services et les soins aux patients, et compromettent la sécurité des professionnelles en soins. Ce qu’on voit à La Sarre, on le voit partout au Québec. Ce que la protectrice du citoyen observe dans son dernier rapport, nous le subissons quotidiennement », indiquait alors la présidente de la FIQ, Régine Laurent, qui accompagnait madame Lamarre lors d’une conférence de presse suivant le dépôt de la pétition.