D’autres résultats de la campagne de vote sont maintenant connus. Les professionnelles des Laurentides, du Saguenay–Lac-Saint-Jean, de Montérégie-Ouest, du Bas-Saint-Laurent, de la Mauricie et du Centre-du-Québec, de Chaudière-Appalaches et du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal choisissent la FIQ.

Après des années de compressions qui ont affecté les patients, les familles, le personnel du réseau public de la santé et les personnes les plus vulnérables, les libéraux nous ont présenté une broderie d’illusions.

La FIQ se réjouit que le gouvernement décide de vouloir réaliser son engagement de former 2000 infirmières praticiennes spécialisées (IPS). Cependant, il doit aussi régler des problèmes importants que vivent les IPS. Elles subissent plusieurs barrières quant à l’exercice de leur pratique professionnelle. Les lignes directrices qui encadrent leur pratique sont développées conjointement par l’OIIQ et le Collège des médecins.

Dans ce billet, la présidente de la FIQ explique pourquoi, bien que les choix budgétaires à Ottawa ne visent pas directement le budget du Québec en santé, il est important de garder un œil bien ouvert sur les annonces budgétaires canadiennes.

Il y a un peu moins d’un an, la FIQ dotait ses équipes d’un nouvel outil en ligne permettant aux infirmières, infirmières auxiliaires, inhalothérapeutes et perfusionnistes cliniques de signaler les situations inacceptables avec lesquelles elles sont contraintes de composer et de le faire sans craindre les représailles de leur employeur. Aujourd’hui, l’utilité et la pertinence de celui-ci n’est plus à démontrer.